Après des études aux Beaux-arts de Paris et à l’Akademie der Künste à Berlin, Jean-Luc TURLURE expose sur tous les continents et représente la France à de grandes expositions. Ses œuvres figurent dans les Musées et collections privées. Il séjourne plusieurs années en Allemagne, au Danemark et aux USA (Houston, Miami). Il s’installe à Montpellier en 2012.
Artiste plasticien, il utilise toutes les techniques et tous les supports. Ses œuvres sont principalement picturales ayant pour thèmes : l’humain, le voyage, le cirque, la danse, la mode, le portrait, les animaux, la Paix !
Sculpteur, citons parmi ses nombreuses réalisations : le Trophée Miss France 1991, un monument pour la Paix au Burkina Faso. Pour la Manufacture de Sèvres, il réalise 12 sculptures en chocolat !
Il est aussi connu aussi pour ses films (dont New-York, Matisse…), ses vidéos, ses décors de théâtre, ses installations, ses performances… Citons également ses Editions et parutions dont « Mes rencontres avec Picasso ».
Artiste « nomade », ses expositions personnelles et Résidences sont principalement en Europe : Allemagne, Belgique, Hongrie, Russie. Collectivement, il est bien présent en Europe.
Il représente la France dans différentes biennales : Madrid, Barcelone et Mettman pour la première rencontre franco-allemande. En 2007, il crée à Budapest « Servas artists » (ONG Servas) qui réunit plus de 460 artistes .. Des centaines de « Mail art » sont présentés à Paris, Sète, Montpellier (Espace Saint-Ravy)...
Il organise des événements « Les Z’azarts » réunissant plus de 200 artistes, la Galerie Underground, « Covent Garden », le Festival Georges Brassens à Paris... Ses performances sont réalisées avec les visiteurs. Citons « Déshabillez-moi » l’arbre à paroles, les mandalas… Cela contribue au rapprochement entre les nations et les civilisations en communiquant des messages de Paix.
...et d’autres projets en cours de validation.
Très régulières, les expositions ont lieu en France et à l’étranger
Collections privées
France, Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, Danmark, Italie, Espagne, Grande Bretagne, Hongrie, Île Maurice, Russie, USA, Chine...
De nombreux articles de presse dont voici quelques extraits :
Il taloche, gratouille, arrache, efface et superpose : le bois dans les mains de Jean-Luc TURLURE devient émail, vitrail, laque. Arabesques flamboyantes et calligraphies bigarrées, les traces et recoins de matières animent des reflets et des semblants de visages parfois vaguement ébauchés, souvent imbriqués et redessinés. Ce n’est pas un travail classique qui nous est proposé, mais la finalité-même du processus de mixage matière-couleur, sa magie ; le néo-Carl ORFF-TURLURE nous propose les scènes et masques d’aspect moyen-âgeux de son moderne folklore. L’artiste nous donne en un tour de main le sens du rêve, le déclic de l’évasion gothique. Il nous invite à vivre un voyage intemporel et sacré.
Pierre RESTANY
pour l’exposition « Mythes et Civilisations »
Dans certaines traditions orientales, une illumination peut sourdre de la merveille procurée par la forme, la couleur, la texture ou le graphisme d’une racine noueuse, d’une roche, d’une pierre perforée ou veinée. Comme certaines œuvres de Jean-Luc TURLURE, elles ressemblent à une montagne, à un abîme, à une caverne. Elles résument l’étendue, elles condensent la durée. Elles sont objets de longues rêveries, de méditations, d’hypnose. Elles sont support d’extase, moyen de communication avec le monde naturel. Le sage les contemple, s’y aventure et s’y égare : il s’y abîme. La légende veut qu’il ne revienne pas alors dans l’univers humain. Entré dans le séjour des immortels, il est devenu Immortel lui-même.
Roger CAILLOIS
de l’Académie française
Faire revivre les anciennes mythologies en mettant, par exemple, des bas de soie à une centauresse ou en mêlant les règnes animés et inanimés, Turlure est un peintre du merveilleux. Mais tel que ce merveilleux se projette en nous même, dans notre psychisme, profond. C’est un art de la jonction des mondes, de leur osmose, de leur éclatement. En cela, Turlure relie les extrêmes, -la centauresse et le bas de soie justement. Ce que j’aime en lui c’est à la fois, l’irrationnel et l’exactitude dans sa construction.
Jean-Louis FERRIER
journal Le Point pour l’exposition à la Mairie de Neuilly
Le temps de l’origine trouve sa transparence dans la peinture de Jean-Luc Turlure.
En découvrant ces fulgurantes images de cette prime-histoire, j’ai, dans l’abandon du regard, fait ce nouveau voyage vers la LIKUALA, aux herbes où les pygmées appellent encore le lever de lune au travers des clairières.
En visionnant ces glacis d’une peinture vraie d’être irréelle, j’ai encore senti le vent de l’Antarctique souffler sur l’île où demeurent immobiles, les géants de pierre, ceux qui regardent les étoiles - éternellement…
En touchant cette peinture avec des doigts aveugles, j’ai entendu ce dernier chant vers l’au-delà, celui de ces Indiens d’Amazonie qui survivent et meurent d’avoir encore voulu sauvegarder cette autre perception de ce futur Antérieur.
Jean-Luc TURLURE, votre peinture traverse les époques, et c’est ainsi que rien ne meurt…
Francis MAZIERE
« Les énigmes de l’Univers » Ed. Laffont
Les œuvres de Turlure, quand je les ai vues, tout récemment, pour la première fois, m’ont aussitôt adressé un signe de connivence. Elles ne m’ont pas rappelé quelqu’un sinon, à la rigueur, les paysages minéraux de Max Ernst aux Etats-Unis ; elles ne m’ont rien signifié de précis. Elles m’ont ouvert une vaste contrée où j’ai entrevu des sphinx, des dragons. L’Aurige de Delphes y assiste, impassible aux reptations d’Icare. Mais aucune de ces apparitions n’est traitée sous forme de scène, à la manière des fresques historiques de la Résidence de Munich. Loin d’opposer une résistance à notre regard, de revendiquer une apparence statique, elles se mettent en mouvement. C’est la houle qui porte le vaisseau fantôme ou le navire de Tristan dont j’aperçois les voiles. Cette peinture ne nous est pas donnée d’un coup. Elle progresse par accumulations, superpositions, transparences et les formes se déploient, se multiplient comme des ondes.
Ce cheminement qui a besoin du temps s’apparente à la musique et c’est naturellement aux cuivres et aux violoncelles wagnériens que fait penser la tonalité crépusculaire de la plupart des tableaux de Turlure.
Le peintre nous délivre insidieusement de la réalité. Mais le monde qu’il s’est construit n’est pas imaginaire pour autant : c’est celui de la mémoire. Ne confondez pas avec le souvenir. Cette mémoire-là est celle des hommes d’un siècle gorgé d’histoire ; Turlure ne joue pas au « ruiniste », comme on disait au temps d’Hubert Robert. Il ne se promène pas dans un musée mais dans la légende.
Pierre MAZARS
Journal Le Figaro
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